Critique de la semaine : Summer Wars

Publié le par Boulette

Chers lecteurs, je vous avait écrit ça y'a plusieurs éternités déjà (oui sans vacances chaque jour qui passe est une demi éternité, donc 2 jours = une éternité etc.), vous m'excuserez de vous servir du réchauffé, mais en ce moment on fait avec les moyens du bord et puis j'ai aussi une bonne raison.

 

[Réchauffé] Critique de la semaine : Summer Wars

 

Lundi ce sera l’été, personne ne s’en rend compte étant donné le formidable climat dont nous bénéficions actuellement, mais ce sera bientôt les sorties d’été avec son lot de films pour (grands) gamins et de blockbusters nazes (Fast 'n furious 14012, Sautons-nous tous – ou tout autre teen movie où au final pas l'ombre d'un bout de nudité ne sera entr'appercevable, etc. etc.).

En attendant cette pléthore de divertissements, parlons de ceux déjà disponibles. Le week end dernier j’ai profité d’un petit moment libre pour aller prendre le frais dans une salle de ciné ^^ Nous avons choisi Summer Wars. Déjà visionné au Japon lors de sa sortie par un pote japophone (nippophone ?).


http://www.manga-sanctuary.com/IMAGES_NEWS/Image/ex%20d%20avatars%20pour%20summer%20wars.jpg

Titre : Summer Wars

Réalisateur : Mamoru Hosada (La traversée du temps)

Scénario : Kenji, lycéen timide et surdoué en maths, travaille à la maintenance d’OZ (une GRAAAAAAAAAAAAANDEUH plateforme communautaire). Quand Natsuki, sa jolie sempai, lui propose un petit boulot, il ne peut pas refuser. Il est invité à l’anniversaire de l’arrière grand-mère de Natsuki dans le clan Jinnoushi, sans savoir qu’il doit jouer le rôle du fiancé idéal. Alors que nos héros s’amusent en mangeant de la pastèque, un virus attaque OZ, déclenchant des catastrophes en séries. Il va falloir rétablir l’ordre et sauver la planète (fichtre ! En voilà un job de héros original).

Mon avis : Tout le monde dépend totalement d’OZ. Ce qui rend le film un peu trop tiré par les cheveux… Pour autant on rit beaucoup, les séquences émotions sont bien là, mais elles sont très courtes et bien gérées pour une fois. Le film en lui-même est assez divertissa nt, on ne retournerait pas le voir en courant (même en DVD), mais on n’est pas déçu d’avoir payé sa place. On retrouve tous les clichés des dérives des plateformes communautaires et aussi de nombreux clichés sur l’informatique, ce qui fourni pour moi un ressort comique supplémentaire. C’est un animé esthétiquement plutôt  agréable à regarder, mais mon cœur reste attaché à Totoro… [/Réchauffé]

 

Si je me suis permis de sortir ce truc du placard, ce n'est pas seulement parce qu'ici c'est le vide galactique, mais surtout parce qu'il existe deux mondes dans ce film : celui de la vraie vie que vous et moi côtoyons ou presque et puis celui de OZ. On passe de l'un à l'autre sans prévenir, mais pas de risque de s'y tromper l'esthétique d'OZ n'a rien à voir avec la vraie vie. OZ a un design assez... Murakami ^^ Et oui le sculpteur japonais qui fait tant parler de lui en ce moment. Donc hop petit clin d'œil à l'actualité artistique du moment.

 

Ah oué tant que j'y suis deux petites vidéos que j'ai bien appréciées ^^



 



 

Je reconnais que pour cette dernière une bonne maitrise de l'anglais est requise, mais quand même quoi. Best Lego Star Wars EVER. Et essayez d'écouter les petits commentaires de Luke et consorts.

Publié dans Critique de la semaine

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